La défense d’une posture, la défense d’une profession

Créé en 1996, le CEG-t (dit « Le Collège ») rassemble des Gestalt-thérapeutes et des institutions concernées par la Gestalt-thérapie, essentiellement dans les pays d’Europe de langue française (France, Belgique, Suisse).

Il a pour but principal d’informer sur la pratique de la Gestalt-thérapie et de défendre la Gestalt-thérapie, dans une conception marquée par sa dimension phénoménologique et sa référence à la théorie du champ organisme-environnement, précisée dans sa Charte d’Orientation clinico-pratique.

Le Collège participe également à favoriser la réflexion, la confrontation, l’élaboration, la recherche et la diffusion des connaissances théoriques, cliniques et pratiques en matière de Gestalt-thérapie. Dans cette perspective, il se fonde sur l’approche théorique et méthodologique initiée par Perls, Goodman, et Hefferline dans Gestalt Therapy, publié en 1951 et qui a été traduit aux Editions L’Exprimerie à Bordeaux et il participe aux échanges et aux recherches en évolution constante dans le champ de la Gestalt-thérapie.

Il œuvre à la réflexion et à l’évolution de la profession de Gestalt-thérapeute et ce plus spécifiquement au sein d’instances nationales et internationales. Il offre aux professionnels une possibilité d’entrer dans le processus d’agrément de Gestalt-thérapeute en conformité avec les normes européennes de formation et d’éthique.

Le CEG-t dispose :
– de deux Chartes d’Orientation : clinico-pratique  & politico-professionnelle,
– d’une Commission Ethique et Déontologie : ced.cegt@gmail.com,
– d’une Commission des recours pour toute contestation de décision prise par le Conseil d’Administration ou l’une des commissions du CEG-t,
– d’un code de déontologie,
–  de l’ICO.